Le verbe et l’hameçon
"Jo, truand sans scrupule, épouse Lydie, prostituée en mal d'amour, dans les bas-fonds où règne la loi des voyous. Dès lors, dans cette farce politico-tragique, tout s'enchaîne et entraîne les personnages dans une série de tableaux, sorte d'épopée drolatique qui rend compte de l'état du monde et du rythme fiévreux de l'Histoire.
La soif de pouvoir et d'argent nous sont montrés ici comme les principaux moteurs de la marche des choses que l'auteur dénonce avec un humour souvent noir et féroce, dénonçant leur aspect monstrueux et leur mécanique perverse, renvoyant aussi dos à dos les idéologies dominantes qui ont bâti ce siècle, sur fond de violence, d''injustice et d'autorité. Annonçant l'effondrement du bloc soviétique et les catastrophes que nous promet notre économie libérale, cette pièce qui parodie les opéras brechtiens en en reprenant les principes dramaturgiques, éclate d'insolence et de verve, nous procure un moment de bonne santé théâtrale et de jubilation." [Extrait du programme du Théâtre d'Orléans]
Imprimerie Pierre-Jean Oswald, Honfleur, 1977
La soif de pouvoir et d'argent nous sont montrés ici comme les principaux moteurs de la marche des choses que l'auteur dénonce avec un humour souvent noir et féroce, dénonçant leur aspect monstrueux et leur mécanique perverse, renvoyant aussi dos à dos les idéologies dominantes qui ont bâti ce siècle, sur fond de violence, d''injustice et d'autorité. Annonçant l'effondrement du bloc soviétique et les catastrophes que nous promet notre économie libérale, cette pièce qui parodie les opéras brechtiens en en reprenant les principes dramaturgiques, éclate d'insolence et de verve, nous procure un moment de bonne santé théâtrale et de jubilation." [Extrait du programme du Théâtre d'Orléans]
Imprimerie Pierre-Jean Oswald, Honfleur, 1977