Elles s’appelaient Marie
Comment parler de Marie, la sainte mère de Jésus, mère de Dieu, mère du monde ? Connu pour ses précédents ouvrages de science et spiritualité dans lesquels il nous fait voyager des astres aux atomes, jusqu'aux confins de la pensée existentielle, Bernard Huet réussit ici la gageure de mêler dans un double portrait sa propre mère, à l'exemple de toutes les mamans du monde, et l'insondable mystère de Celle qui, voici 2000 ans, regardait naître Dieu, son fils, quelque part en Palestine. Nulle impiété dans cette ouverture du cœur, point de blasphème dans cette fusion d'au-delà. Dans un langage clair, chargé d'émotion, il nous fait découvrir l'humanité de Marie. Il nous fait comprendre. Il nous fait aimer. Dans une époque où s'exacerbe la rivalité entre l'homme et la femme, ce livre redonne à celle-ci la primauté oubliée. Qu'est ce monde, pourquoi la vie, qu'y faisons-nous ? Rien n'a de sens sans la femme, clé de l'au-delà, passage de la vie.
« Pour comprendre la profondeur de cette foi qui animait Marie, ma mère, j'ai voulu relire l'histoire de Marie, la Sainte Vierge, que nous a révélée Anne-Catherine Emmerick, la mystique allemande morte en 1824 et canonisée en 2004 par Jean-Paul II. La Bible m'en apprenait peu. Les évangiles des premiers siècles, injustement relégués au rang d'apocryphes, le protoévangile de Jacques écrit au deuxième siècle, puis l'évangile dit du Pseudo-Matthieu, me furent aussi une source précieuse. »
« Pour comprendre la profondeur de cette foi qui animait Marie, ma mère, j'ai voulu relire l'histoire de Marie, la Sainte Vierge, que nous a révélée Anne-Catherine Emmerick, la mystique allemande morte en 1824 et canonisée en 2004 par Jean-Paul II. La Bible m'en apprenait peu. Les évangiles des premiers siècles, injustement relégués au rang d'apocryphes, le protoévangile de Jacques écrit au deuxième siècle, puis l'évangile dit du Pseudo-Matthieu, me furent aussi une source précieuse. »
Huet