Le Journal d’une saltimbanque
Dans les yeux de Jean Seberg...
Depuis les grandes plaines des États-Unis, à Marshalltown, une cité ouvrière dans l'Iowa, Jean cherchait à s'enfuir de cette ville reculée de l'Amérique aux traditions rugueuses. Son père, pharmacien tenait un drugstore, tandis que sa mère exerçait le métier d'institutrice dans l'école voisine. Sa famille était de confession luthérienne et d'origine suédoise. Par admiration pour Marlon Brando, jeune fille de Province, Jean aimait jouer des rôles avec ses camarades au théâtre du lycée, elle ne pensait pas découvrir un jour Paris et incarner l'idéal féminin de la génération de la nouvelle vague cinématographique.
Depuis les grandes plaines des États-Unis, à Marshalltown, une cité ouvrière dans l'Iowa, Jean cherchait à s'enfuir de cette ville reculée de l'Amérique aux traditions rugueuses. Son père, pharmacien tenait un drugstore, tandis que sa mère exerçait le métier d'institutrice dans l'école voisine. Sa famille était de confession luthérienne et d'origine suédoise. Par admiration pour Marlon Brando, jeune fille de Province, Jean aimait jouer des rôles avec ses camarades au théâtre du lycée, elle ne pensait pas découvrir un jour Paris et incarner l'idéal féminin de la génération de la nouvelle vague cinématographique.
Jagu