Ode pour ne pas oublier
Je m’étais promis de ne plus écrire sur l’Algérie afin de ne pas devenir le chantre de la nostalgie… Et ce texte s’est imposé, comme le bébé à la femme qui a oublié de prendre la pilule. I
l n’y a pas de pilule contre les souvenirs qui nous hantent. Contre l’oubli, il y en a une : les mots. Cette " Ode " est un fragment de vie, une complainte où les mots se font musique.
l n’y a pas de pilule contre les souvenirs qui nous hantent. Contre l’oubli, il y en a une : les mots. Cette " Ode " est un fragment de vie, une complainte où les mots se font musique.
Evelyne Sellés-Fischer