Nour
Cette « itinerrance » par le biais du souvenir, des petites choses de la vie, de l'enfance, invite au voyage dans un pays regretté trop tôt quitté : l'Algérie.
Nour, c'est l'histoire du renoncement à « un pays étrange et désormais étranger... ».
Nour, l'enfance, perdue aussi. Deux exils dont on ne se remet pas.
Nour, « la lumière » dans cette belle langue arabe que je ne parle pas..., la lumière surtout, et les couleurs, les odeurs, les sensations.
Ça sent le pétrole de la lampe, le sucre du loukoum qu'une langue gourmande lèche sur le bord des lèvres. Pouvoir évocateur d'un peu de buée sur un verre, d'un fruit mûr écrasé qui offre son parfum. Nour, c'est une malle qu'on ouvre dans un grenier, dont on sort des choses qu'on avait oubliées. Nour, la vie, le temps, petite madeleine algérienne qui va chercher au fond du cœur ce qu'on ne savait plus.
« Je suis partie dans la pleine chaleur d'un été algérien ».
Nour, c'est l'histoire du renoncement à « un pays étrange et désormais étranger... ».
Nour, l'enfance, perdue aussi. Deux exils dont on ne se remet pas.
Nour, « la lumière » dans cette belle langue arabe que je ne parle pas..., la lumière surtout, et les couleurs, les odeurs, les sensations.
Ça sent le pétrole de la lampe, le sucre du loukoum qu'une langue gourmande lèche sur le bord des lèvres. Pouvoir évocateur d'un peu de buée sur un verre, d'un fruit mûr écrasé qui offre son parfum. Nour, c'est une malle qu'on ouvre dans un grenier, dont on sort des choses qu'on avait oubliées. Nour, la vie, le temps, petite madeleine algérienne qui va chercher au fond du cœur ce qu'on ne savait plus.
« Je suis partie dans la pleine chaleur d'un été algérien ».
Evelyne Sellés-Fischer