Ordonné en 561 par Clotaire 1er, l’exil de l’évêque Nizier de Trèves accorde un répit bienvenu à la guérisseuse Mechthild qui est en fort mauvais termes avec lui. La découverte inattendue d’une panacée fait croître sa patientèle et conséquemment son aisance, et tout irait donc pour le mieux si un beau jour, les vertus de ladite panacée ne cessaient subitement d’opérer. Pour un temps, la solution semble à portée de main puisque deux Syriens proposent une alternative acceptable à la sage-femme. Elle aurait d’ailleurs bien pu faire affaire avec eux si seulement tous trois n’étaient pas recherchés pour meurtre.