Suicide dans l’après-midi
SUICIDE DANS L'APRES-MIDI est un recueil de huit nouvelles, dont celle qui donne son titre à l'ouvrage et qui est la première d'une trilogie, où l'on suit le personnage de Hans, enfant terrible d'une riche famille flamande, inspirateur du photographe Joseph A, et enfin croupier déchu au casino d'Ostende.
La nouvelle qui inaugure le recueil, « Monsieur Delvaux s'en va », écrite sous forme du journal intime d'un jeune instituteur, retrace les dernières semaines de la vie d'un village qui va disparaître à la suite d'un accident dans une mystérieuse centrale nucléaire sous-marine. C'est aussi un hymne à l'amour de la terre et du monde.
Dans « Liens de sang », l'auteur évoque les liens trop exclusifs qui unissent une jeune femme à son père.
Quant à « Meurtre », c'est le récit d'une liaison délétère dont seul un acte meurtrier peut libérer la protagoniste.
« Duel au soleil » et « Lorelei », nouvelle sur laquelle se clôt le recueil, traitent directement du suicide, mais rendent aussi hommage à la beauté de la nature, à l'été, à la terre tant aimée.
Ces textes, sombres et parfois oppressants n'adoptent cependant jamais une attitude complaisante ou voyeuriste envers tout ce que suicide et meurtre peuvent comporter de morbide ou de sensationnel.
Ce qu'a tenté l'auteur, c'est de restituer des moments – que chacun d'entre nous peut connaître – où l'on est confronté à une réalité massive, qui ne peut être ni acceptée, ni aménagée, et à laquelle la seule issue apparaît comme un acte définitif, qui fait basculer le destin du personnage.
SUICIDE DANS L'APRES-MIDI propose une analyse psychologique de situations extrêmes mais aussi une évocation sensuelle et souvent poétique de lieux, d'atmosphères, de rêves.
La nouvelle qui inaugure le recueil, « Monsieur Delvaux s'en va », écrite sous forme du journal intime d'un jeune instituteur, retrace les dernières semaines de la vie d'un village qui va disparaître à la suite d'un accident dans une mystérieuse centrale nucléaire sous-marine. C'est aussi un hymne à l'amour de la terre et du monde.
Dans « Liens de sang », l'auteur évoque les liens trop exclusifs qui unissent une jeune femme à son père.
Quant à « Meurtre », c'est le récit d'une liaison délétère dont seul un acte meurtrier peut libérer la protagoniste.
« Duel au soleil » et « Lorelei », nouvelle sur laquelle se clôt le recueil, traitent directement du suicide, mais rendent aussi hommage à la beauté de la nature, à l'été, à la terre tant aimée.
Ces textes, sombres et parfois oppressants n'adoptent cependant jamais une attitude complaisante ou voyeuriste envers tout ce que suicide et meurtre peuvent comporter de morbide ou de sensationnel.
Ce qu'a tenté l'auteur, c'est de restituer des moments – que chacun d'entre nous peut connaître – où l'on est confronté à une réalité massive, qui ne peut être ni acceptée, ni aménagée, et à laquelle la seule issue apparaît comme un acte définitif, qui fait basculer le destin du personnage.
SUICIDE DANS L'APRES-MIDI propose une analyse psychologique de situations extrêmes mais aussi une évocation sensuelle et souvent poétique de lieux, d'atmosphères, de rêves.
Renault