L’église Saint-Denis d’Amboise
L’église Saint-Denis d’Amboise n’a pas la place qu’elle mérite tout à la fois dans l’histoire de l’art religieux régional et dans l’histoire architecturale de la commune d’Amboise.
Sans doute est-elle en quelque sorte écrasée par la renommée de son château qui attire les foules, ainsi que par celle du Clos-Lucé qui évoque l’illustre Léonard de Vinci !
Mais elle a aussi été dévalorisée par l’obscurcissement de l’abside principale au XVI° siècle et par une restauration unificatrice du XIX° siècle, masquant en partie la richesse des solutions architecturales et artistiques qui, depuis le XII° siècle, y avaient été développées.
Aucune étude globale n’avait été menée sur l’édifice depuis le Congrès archéologique de 1949. Cette monographie que l’on a voulue la plus complète possible, notamment pour les siècles du XII° au XVI°, s’appuie sur la recension des archives textuelles et figurées et sur une investigation méticuleuse depuis les matériaux des chapiteaux jusqu’aux configurations des voûtes visibles dans les soupentes.
Le catalogue critique de près des trois cents d’éléments sculptés, qui a été dressé à cette occasion, a aidé à faire la part des restaurations et des créations du XIX° siècle.
L’examen des procédés architecturaux et artistiques et leurs comparaisons avec des monuments régionaux ont permis de renouveler largement la perception de cet important monument du Val de Loire.
Les embellissements du XVII° au XX° siècle (retables, peintures murales, sculptures en provenance d’autres édifices proches) sont décrits sous la forme d’une synthèse des différentes études et documents existants.
L’auteur étudie l’histoire de l’art médiéval depuis trente ans, spécialement la période romane.
Dans le cadre de la Société archéologique de Touraine, où il est administrateur et membre du comité des publications, mais aussi dans le cadre de la Société française d’archéologie où il est délégué pour la région Centre-Val de Loire.
Il a publié une cinquantaine d’articles dans diverses revues spécialisées, notamment dans Monuments en Touraine (Congrès archéologique de Touraine 1997) où il rendit compte de sa découverte des arts libéraux au portail de l’église Saint-Ours de Loches et dans le Bulletin monumental (maison Renaissance de Loches et chapelle Saint-Libert de Tours).
Sans doute est-elle en quelque sorte écrasée par la renommée de son château qui attire les foules, ainsi que par celle du Clos-Lucé qui évoque l’illustre Léonard de Vinci !
Mais elle a aussi été dévalorisée par l’obscurcissement de l’abside principale au XVI° siècle et par une restauration unificatrice du XIX° siècle, masquant en partie la richesse des solutions architecturales et artistiques qui, depuis le XII° siècle, y avaient été développées.
Aucune étude globale n’avait été menée sur l’édifice depuis le Congrès archéologique de 1949. Cette monographie que l’on a voulue la plus complète possible, notamment pour les siècles du XII° au XVI°, s’appuie sur la recension des archives textuelles et figurées et sur une investigation méticuleuse depuis les matériaux des chapiteaux jusqu’aux configurations des voûtes visibles dans les soupentes.
Le catalogue critique de près des trois cents d’éléments sculptés, qui a été dressé à cette occasion, a aidé à faire la part des restaurations et des créations du XIX° siècle.
L’examen des procédés architecturaux et artistiques et leurs comparaisons avec des monuments régionaux ont permis de renouveler largement la perception de cet important monument du Val de Loire.
Les embellissements du XVII° au XX° siècle (retables, peintures murales, sculptures en provenance d’autres édifices proches) sont décrits sous la forme d’une synthèse des différentes études et documents existants.
L’auteur étudie l’histoire de l’art médiéval depuis trente ans, spécialement la période romane.
Dans le cadre de la Société archéologique de Touraine, où il est administrateur et membre du comité des publications, mais aussi dans le cadre de la Société française d’archéologie où il est délégué pour la région Centre-Val de Loire.
Il a publié une cinquantaine d’articles dans diverses revues spécialisées, notamment dans Monuments en Touraine (Congrès archéologique de Touraine 1997) où il rendit compte de sa découverte des arts libéraux au portail de l’église Saint-Ours de Loches et dans le Bulletin monumental (maison Renaissance de Loches et chapelle Saint-Libert de Tours).
Gérard Fleury