Le gothique fantastique à la cathédrale de Tours au XVe siècle
La sculpture de la cathédrale de Tours est dominée, dans l’esprit des historiens de l’art et des amateurs du monument, par les grands chapiteaux végétaux du rond-point, les clés historiées du déambulatoire (déjà bien moins connues), les décors (en grande partie refaits) des trois façades et les grandes clés flamboyantes de la nef.
Le végétal domine dans la nef et le massif occidental, cependant il existe d’autres sculptures qui relèvent d’une veine moins attendue et qui à cause bien souvent de leurs positions perchées, n’ont jamais été prises en compte. Leur présence nous a été signalée, pour les œuvres les plus importantes, par Arnault de Saint-Jouan, Architecte en chef des Monuments historiques, qui est donc à l’origine de cette étude.
Malgré une recherche à la jumelle dès 2010 dans la nef, l’avant-nef et la croisée, des éléments sculptés nous avaient échappé et seule l’observation depuis le triforium et l’aide de la photographie au téléobjectif ont permis d’en faire un panorama complet. Leur découverte et leur étude se sont donc déroulé sur près de cinq ans.
Toutes les œuvres de la nef et de l’avant-nef décrites dans ce livre sont, malgré leurs situations peu ou pas visibles par le visiteur, les seuls témoins qui nous restent de la dernière sculpture médiévale imagée de Saint-Gatien après les destructions successives du décor originel de la façade ouest.
Le végétal domine dans la nef et le massif occidental, cependant il existe d’autres sculptures qui relèvent d’une veine moins attendue et qui à cause bien souvent de leurs positions perchées, n’ont jamais été prises en compte. Leur présence nous a été signalée, pour les œuvres les plus importantes, par Arnault de Saint-Jouan, Architecte en chef des Monuments historiques, qui est donc à l’origine de cette étude.
Malgré une recherche à la jumelle dès 2010 dans la nef, l’avant-nef et la croisée, des éléments sculptés nous avaient échappé et seule l’observation depuis le triforium et l’aide de la photographie au téléobjectif ont permis d’en faire un panorama complet. Leur découverte et leur étude se sont donc déroulé sur près de cinq ans.
Toutes les œuvres de la nef et de l’avant-nef décrites dans ce livre sont, malgré leurs situations peu ou pas visibles par le visiteur, les seuls témoins qui nous restent de la dernière sculpture médiévale imagée de Saint-Gatien après les destructions successives du décor originel de la façade ouest.
Gérard Fleury