La Forteresse perdue
Entre exotique et historique, entre amour et haine, entre conflits et crime, ce premier roman de S.K. Durman nous transporte au seuil du Moyen-Orient.
Nous sommes en 1920. L’Europe savoure la paix en oubliant qu’on meurt encore à ses portes, dans les provinces orientales d’Anatolie. La Russie est à feu et à sang. Le Caucase vit dans la tourmente d’une lutte d’influence entre les Anglais et les bolcheviks. La guerre a détruit des familles entières. Elle a laissé derrière elle ruine et désolation. Elle a aussi eu ses héros anonymes.
Réfugié à la tête de son armée de mercenaires dans une forteresse perdue au sud du Caucase, le prince-général de Lambron, surnommé le Diable de Çildir, est l’un de ceux-là, un homme fatigué de combattre, vivant avec ses doutes, ses remords et ses blessures. Son dernier espoir est de retrouver son fils disparu.
S.K. Durman se dit 60,8 % Asiatique de l’ouest, 18,8% Italien, 17,9% Moyen-Oriental, 2,5% Juif Ashkénaze. Est-ce ce savant cocktail ethnique qui génère ce talent pour nous passionner ainsi et nous faire découvrir d’autres cieux ?
Nous sommes en 1920. L’Europe savoure la paix en oubliant qu’on meurt encore à ses portes, dans les provinces orientales d’Anatolie. La Russie est à feu et à sang. Le Caucase vit dans la tourmente d’une lutte d’influence entre les Anglais et les bolcheviks. La guerre a détruit des familles entières. Elle a laissé derrière elle ruine et désolation. Elle a aussi eu ses héros anonymes.
Réfugié à la tête de son armée de mercenaires dans une forteresse perdue au sud du Caucase, le prince-général de Lambron, surnommé le Diable de Çildir, est l’un de ceux-là, un homme fatigué de combattre, vivant avec ses doutes, ses remords et ses blessures. Son dernier espoir est de retrouver son fils disparu.
S.K. Durman se dit 60,8 % Asiatique de l’ouest, 18,8% Italien, 17,9% Moyen-Oriental, 2,5% Juif Ashkénaze. Est-ce ce savant cocktail ethnique qui génère ce talent pour nous passionner ainsi et nous faire découvrir d’autres cieux ?
S.K. Durman