« Cinquième République, la dernière vague – Projet de nouvelle constitution »
La 5ème République, c'est la concentration des pouvoirs dans les mains d'une seule personne qui peut trahir ses engagements de campagne électorale et dont le mandat ne peut être remis en cause. La rupture avec ce système pose de multiples questions.
Comment placer les représentants élus sous le contrôle des électeurs ?
Quels mécanismes de démocratie directe doit-on introduire dans les institutions, sans tomber dans le populisme qui flatte le peuple tout en lui confisquant sa souveraineté ?
Quelle place faut-il donner à la démocratie délibérative : tirage au sort, référendum d'initiative citoyenne ?
Quels sont les principes fondamentaux à inscrire prioritairement dans une 6ème constitution ?
A l’heure où croît la perception de l’inutilité du bulletin glissé dans l’urne, la constitution alternative au cœur du livre se propose d’ouvrir un débat devenu inéluctable. Elle comporte une centaine d’articles où les trois pouvoirs d’une démocratie sont définis et partagés afin que chacun ait sa légitimité sans pouvoir empiéter sur les autres. Si le peuple n’a pas toujours raison, les gouvernants dans leur gestion non plus. Et force est de constater que les juges aussi peuvent avoir tort.
Comment placer les représentants élus sous le contrôle des électeurs ?
Quels mécanismes de démocratie directe doit-on introduire dans les institutions, sans tomber dans le populisme qui flatte le peuple tout en lui confisquant sa souveraineté ?
Quelle place faut-il donner à la démocratie délibérative : tirage au sort, référendum d'initiative citoyenne ?
Quels sont les principes fondamentaux à inscrire prioritairement dans une 6ème constitution ?
A l’heure où croît la perception de l’inutilité du bulletin glissé dans l’urne, la constitution alternative au cœur du livre se propose d’ouvrir un débat devenu inéluctable. Elle comporte une centaine d’articles où les trois pouvoirs d’une démocratie sont définis et partagés afin que chacun ait sa légitimité sans pouvoir empiéter sur les autres. Si le peuple n’a pas toujours raison, les gouvernants dans leur gestion non plus. Et force est de constater que les juges aussi peuvent avoir tort.
Catherine Lison-Croze