Ceux du 15
Dans les années cinquante et soixante, tandis que j'étais enfant, balloté entre des familles d'accueil, des institutions, il m'arrivait certains week-ends et durant les congés scolaires de me rendre auprès de mes parents qui demeuraient au 15, rue de Lorraine, à Maisons-Laffitte. A la fin des années soixante, devenu adolescent, j'intégrais définitivement ma famille.
Tandis que je traverse mille obstacles, je brosse le portrait de mes parents, de mes sœurs, de mon grand frère, de mes copains d'enfance, de plusieurs voisins qui savaient, au gré des événements, marier la gentillesse et l'honnêteté, la méchanceté et la jalousie. Au fil des pages je dévoile mes aventures et mes vicissitudes du printemps de ma vie, dépeins le quotidien de Ceux du 15, cet immeuble qui sortait vraiment de l'ordinaire.
Mon livre est également le récit des aventures d'une tribu de voisins, souvent pitoyables, jamais ridicules, acteurs orgueilleux qui, dans leur petit appartement ou à travers les étages dénouaient avec embarras et pudeur les liens sensibles qui les unissaient, illustraient à leur façon, une époque parfois cruelle mais aussi lumineuse, une époque aujourd'hui définitivement révolue.
Tandis que je traverse mille obstacles, je brosse le portrait de mes parents, de mes sœurs, de mon grand frère, de mes copains d'enfance, de plusieurs voisins qui savaient, au gré des événements, marier la gentillesse et l'honnêteté, la méchanceté et la jalousie. Au fil des pages je dévoile mes aventures et mes vicissitudes du printemps de ma vie, dépeins le quotidien de Ceux du 15, cet immeuble qui sortait vraiment de l'ordinaire.
Mon livre est également le récit des aventures d'une tribu de voisins, souvent pitoyables, jamais ridicules, acteurs orgueilleux qui, dans leur petit appartement ou à travers les étages dénouaient avec embarras et pudeur les liens sensibles qui les unissaient, illustraient à leur façon, une époque parfois cruelle mais aussi lumineuse, une époque aujourd'hui définitivement révolue.
Jubin