Pleine ruine
Avec ce nouveau recueil de Christophe Forgeot, nous entrons de plain-pied dans une écriture peu commune où tout laisse à penser que la métaphore (les ruines) est la manière d’appréhender l’existence en fonction de ce que nous sommes intrinsèquement.
Ces ruines, il faut les lire comme notre conditionnement dans la diversité. Il y a toutes sortes de ruines comme autant de personnes en proie à la nature de leur psychisme.
Mais, ici, c’est le style qui importe. L’auteur s’éloigne de tout lyrisme pour revenir par la poésie à ce qui reste d’essentiel. On pourrait y déceler l’essence d’une poésie matérialiste au sens philosophique du terme. En ce sens, ce recueil sort des sentiers battus et nous invite à nous interroger sur ce que nous pensons être ou croyons être.
Ces ruines résonnent en nous par la force des mots à froid et nous confèrent finalement la liberté de les interpréter.
« Les ruines appartiennent à un seul réel
Et à plusieurs réalités »
François Mocaer
Ces ruines, il faut les lire comme notre conditionnement dans la diversité. Il y a toutes sortes de ruines comme autant de personnes en proie à la nature de leur psychisme.
Mais, ici, c’est le style qui importe. L’auteur s’éloigne de tout lyrisme pour revenir par la poésie à ce qui reste d’essentiel. On pourrait y déceler l’essence d’une poésie matérialiste au sens philosophique du terme. En ce sens, ce recueil sort des sentiers battus et nous invite à nous interroger sur ce que nous pensons être ou croyons être.
Ces ruines résonnent en nous par la force des mots à froid et nous confèrent finalement la liberté de les interpréter.
« Les ruines appartiennent à un seul réel
Et à plusieurs réalités »
François Mocaer
Christophe Forgeot