Dames de Touraine – tome I
Pour la première fois, un ouvrage s’attache à retracer la vie mouvementée et captivante non seulement de femmes célèbres, mais aussi et surtout de femmes méconnues, voire oubliées, effacées délibérément de l’Histoire dictée par les hommes.
Qu’elles soient nées en Touraine, aient choisi d’y vivre ou s’y soient retirées pour finalement y mourir, elles ont marqué en leur temps cette belle province.
Certaines sont parvenues à mener à bien leur projet religieux, comme Clotilde de Burgondie, actrice de la conversion de Clovis, et Marie Guyart, mystique, missionnaire, fondatrice des Ursulines de la Nouvelle-France, ou bien ont consacré leur existence et leur fortune à venir en aide aux pauvres et aux orphelins, comme Amélie Tonnellé et Ida des Acres de l’Aigle.
D’autres, tendrement aimées d’un roi, ont subi bien des malveillances, comme Agnès Sorel, morte à 28 ans après un accouchement, et la merveilleuse Diane de Poitiers, ou bien, résistantes de la première heure, ont disparu dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale, déportées dans les camps nazis, comme Raymonde Sergent, de Saint-Martin-le-Beau, et Elisabeth Le Port, institutrice à Saint-Christophe-sur-le-Nais.
Mais toutes méritent l’intérêt, tant leur parcours est empreint de courage, d’intelligence et de détermination…
Qu’elles soient nées en Touraine, aient choisi d’y vivre ou s’y soient retirées pour finalement y mourir, elles ont marqué en leur temps cette belle province.
Certaines sont parvenues à mener à bien leur projet religieux, comme Clotilde de Burgondie, actrice de la conversion de Clovis, et Marie Guyart, mystique, missionnaire, fondatrice des Ursulines de la Nouvelle-France, ou bien ont consacré leur existence et leur fortune à venir en aide aux pauvres et aux orphelins, comme Amélie Tonnellé et Ida des Acres de l’Aigle.
D’autres, tendrement aimées d’un roi, ont subi bien des malveillances, comme Agnès Sorel, morte à 28 ans après un accouchement, et la merveilleuse Diane de Poitiers, ou bien, résistantes de la première heure, ont disparu dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale, déportées dans les camps nazis, comme Raymonde Sergent, de Saint-Martin-le-Beau, et Elisabeth Le Port, institutrice à Saint-Christophe-sur-le-Nais.
Mais toutes méritent l’intérêt, tant leur parcours est empreint de courage, d’intelligence et de détermination…
Sylvie Pouliquen