Allons Enfants
1914-1918. Il y a cent ans, en 1916, Ernest Girard, de Neuillé-Pont-Pierre, Poilu de la guerre de 14, est dans les tranchées de Verdun. Cinquante ans après son retour, il écrit ses mémoires sur un cahier d’écolier. C’est ce cahier que sa fille, madame Léguillon, longtemps quincaillière à Neuillé, et ses petits-enfants ont confié à l’auteur.
1939-1945. Roland Lehmann, originaire de Lavernat, voit l’arrivée des Allemands dans ce village sarthois. Alors adolescent, il vit toute l’occupation au Mans.
1943. Kléber Leclerc, de Marray, est requis pour le Service du Travail Obligatoire en Allemagne. Après une tentative d’évasion, il se retrouve dans le terrible camp disciplinaire de Neue Bremm. De retour au camp de travail, il profite d’une permission de convalescence pour rejoindre le maquis de Marigné-Laillé.
1943. Ferdinand Lepron, de Saint Paterne-Racan, réfractaire au STO, fuit en zone libre, près du tristement célèbre Oradour-sur-Glane. Suite à la tragédie de ce village, il s’engage dans le maquis.
1943. Pierre Panvert, de Neuvy-le-Roi, est, lui aussi, au STO. Il raconte son exil forcé, depuis son départ jusqu’à son évasion, trois mois avant la capitulation de l’armée allemande.
Cinq jeunes gens de notre région, pris dans le tragique tourbillon de la guerre, racontent leurs états d’âme, leurs combats, leurs actes de bravoure pour survivre et résister au milieu des privations et des souffrances, et leur joie incommensurable quand le cauchemar a pris fin. Cinq témoignages authentiques, sincères, bouleversants que Dominique Panvert a soigneusement recueillis : d’émouvantes pages d’histoire à garder précieusement.
1939-1945. Roland Lehmann, originaire de Lavernat, voit l’arrivée des Allemands dans ce village sarthois. Alors adolescent, il vit toute l’occupation au Mans.
1943. Kléber Leclerc, de Marray, est requis pour le Service du Travail Obligatoire en Allemagne. Après une tentative d’évasion, il se retrouve dans le terrible camp disciplinaire de Neue Bremm. De retour au camp de travail, il profite d’une permission de convalescence pour rejoindre le maquis de Marigné-Laillé.
1943. Ferdinand Lepron, de Saint Paterne-Racan, réfractaire au STO, fuit en zone libre, près du tristement célèbre Oradour-sur-Glane. Suite à la tragédie de ce village, il s’engage dans le maquis.
1943. Pierre Panvert, de Neuvy-le-Roi, est, lui aussi, au STO. Il raconte son exil forcé, depuis son départ jusqu’à son évasion, trois mois avant la capitulation de l’armée allemande.
Cinq jeunes gens de notre région, pris dans le tragique tourbillon de la guerre, racontent leurs états d’âme, leurs combats, leurs actes de bravoure pour survivre et résister au milieu des privations et des souffrances, et leur joie incommensurable quand le cauchemar a pris fin. Cinq témoignages authentiques, sincères, bouleversants que Dominique Panvert a soigneusement recueillis : d’émouvantes pages d’histoire à garder précieusement.